Artiste français, né en 1952.

Un artiste numérique

Précurseur de l’assemblage numérique, c’est en 2002 que son travail artistique prend une tournure radicale : il invente le concept de l’Hyperphoto et y trouve l’aboutissement de sa démarche. Cette technique consiste en l’assemblage de milliers de clichés pris au téléobjectif pour composer différents univers oniriques à partir de lieux existants.

Des formats gigantesques

Jean-François Rauzier réalise des photographies de très grandes dimensions, 180 X 300 cm et invite le spectateur à se plonger dans les moindres détails. A travers ses œuvres, il offre une réflexion sur notre perception du monde et des grands thèmes qui fondent nos sociétés .

L’archiviste virtuel

Jean-François Rauzier a pour thèmes de prédilections tant les grands monuments que les chefs d’œuvres artistiques ou l’archéologie postmoderne et la nature. Chacune de ses photographies offrent une compilation sur la littérature, la musique, le cinéma, les arts plastiques... Ses œuvres plongent le spectateur dans un univers onirique, parfois fantastique. Elles offrent une réflexion sur le réel, sur la place de l’homme dans la ville, questionne le spectateur sur la perception du monde et l’invite au voyage.

Des expositions internationales

Il expose aussi dans diverses institutions (Musée de Boulogne-Billancourt en 2010, MOMA de Moscou en 2008, Fondation Annenberg en 2011, Palais des Beaux-Arts de Lille en 2012) et il est présent au sein des grandes collections d’art contemporain (Fondation Louis Vuitton, Institut Culturel B. Magrez, etc.).
Il est le lauréat de grands concours artistiques et photographiques : en 2006, le salon Up-date à Berlin lui remet le prix Screenings, en 2008, il reçoit le prix Arcimboldo pour la création numérique, en 2009, il est récompensé par l’APPPF dans la catégorie photographie d’architecture et en 2011 reçoit le prix Eurazéo.

Le site internet de Jean-François Rauzier :
www.rauzier-hyperphoto.com